<p>New York (EFE). Restaurant de Quique Dacosta, dans la ville de Valence de Denia, a été choisi pour la deuxième année consécutive le meilleur restaurant en Europe par gastronomique Guide en ligne opiniâtre sur salle à manger (OAD), au-dessus du Noma danois et français Troisgros.

Quique Dacosta, prix national de gastronomie 2009, répétez l’honneur sur cette liste de blogueurs spécialisés et sélectionnez invités et donc une nouvelle distinction pour sa carrière, lié au restaurant qui porte son nom, mais qui est né en 1981 comme elPoblet et qui déjà détient trois étoiles au guide Michelin en résumé.

« Merci. Un nouveau succès de la gastronomie espagnole. Un nouveau hit de New York, lors d’une présentation à Paris, entouré par les médias et ses collègues du plus haut niveau. Je vous remercie tous d’avoir cru en moi et me soutenir » dit Dacosta de votre réseau social de profil # Instagram, où l’on pouvait voir lui faire griller avec un verre de vin blanc.

Site Web de the opiniâtre sur Dining décrivent une cuisine Dacosta comme « expressionnisme culinaire », depuis la Charte elle-même s’appuie sur des thèmes artistiques à offrir l’abstraction de la salle à manger de la mer (ce qu’ils disent que « vous donnera l’impression que vous marchez le long d’une plage ») et la paëlla modernistes.

« Non seulement tout est grand, vous pourrez passer un week-end complet en restaurant de Quique Dacosta sans demander le même type de nourriture deux fois », disent-ils dans ADO, dont annuelle de la liste des cent meilleurs européens restaurant met un autre espagnol, El Celler de Can Roca, dans les seize-depuis lors, bien que sélectionné les meilleurs dans le monde par le classement de la revue britannique « Restaurant ».

DaCosta est imposée sur René Redzepi du prestigieux Noma, le second en tant que représentant de la force de la nouvelle nourriture nordique et a examiné les trois années d’affilée comme le meilleur restaurant du monde dans le classement des « Restaurant » en 2012 et le français Michel Troigos, qui met en évidence le magazine à la troisième place comme un satellite de l’épicentre de l’art culinaire de Lyon dans la ville de Roanne.

Trois restaurants parisiens glisser le top dix (L’ arpège, dans numéro quatre, Astrance, les huit et Pierre Gaganaire, en dix ans), tandis que le belge In De Wulf, s’élève à cinq, Fat Duck de la Grande-Bretagne, dans six ; le néerlandais Oud Sluis, dans sept et allemand Amador, dans les neuf.

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