Daniel Fasquelle, un député de droite du parti de l’ancien président Sarkozy UMP déposera la proposition dans le cadre d’un droit de la consommation en juin.
Quelque 31 % des restaurants français utilisent industriellement préparé des produits alimentaires, selon une récente étude d’union. Mais le rapport même trouvé que 67 % des établissements de restauration serait prête à remplacer les tarifs préalablement préparé avec des ingrédients frais si cela signifiait gardant l’étiquette de « restaurant ».
L’étude a révélé que si les nouvelles règles ont été appliquées, environ 10 % des points de vente Epicerie fine perdrait le droit d’être appelé restaurants.
Le Synhorcat soutenu que la mesure pourrait potentiellement créer 27 000 emplois, même si cela signifiait augmentant la facture du client par environ sept pour cent.
Pourrait être dérogé pour charcuterie, pain, pâtisseries et glaces, il a dit.
Cependant, six autres syndicats restaurant – y compris le plus grand hôtel et restaurant de France commerce corps et représentant une autre établissements de restauration rapide – jeudi exprimé « opposition massive » à la proposition. Ils prétendent que, au contraire, il aurait des conséquences « dramatiques » pour le secteur, qui a déjà perdu 2 500 emplois au cours des deux dernières années, selon les chiffres publiés cette semaine.
Les syndicats ont saisi sur la définition du restaurant mot dans Le Petit Robert, un des dictionnaires plus populaires de la France, comme étant simplement: « Un établissement où un repas est servi en échange de paiement ».
« La vraie richesse des restaurants français est leur diversité », écrivent-ils dans un communiqué.
Les règles restrictives » créerait une confusion totale aux yeux du public, les visiteurs et touristes internationaux avant tout ».
Les unions de retour à la place une autre étiquette de « artisan-restaurateur » pour ces repas et fabrication sur place avec des produits frais, dans le sens des règles pour les boulangers de bonne foi, qui fièrement portent l’étiquette « artisan-boulanger ».
Restaurants assis traditionnels de la France, une fois l’envie du monde, ont été détrônés par la restauration rapide pour la première fois cette année.
Français de changer des habitudes alimentaires vu Fast-Food prendre 54 pour cent du marché l’an dernier pour un chiffre d’affaires de 34 milliards d’euros (29 milliards£), contre 40 % en 2011. Le mois dernier, plus de grands chefs comme Alain Ducasse a lancé un nouveau label « restaurant de qualité » qui sera accordé à des restaurants qui préparent leur propre nourriture.
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